Quand les libéraux auront fini de nous faire perdre notre temps à justifier du notre, de dicter nos agendas, de polluer aussi bien la planète que notre tête, de dresser les mers et les océans contre les populations, de préempter toutes particules jusqu’à l’air qu’on respire, d’assécher la moindre virgule et détourner le sens des mots, quand enfin les libéraux en auront fini du monde fini, on sera peut-être encore là (on est là, on est là), toujours persistants au-delà même de l’âge pivot ou de l’entendement. Lire plus...